L’ignorance, comme l’affirmaient déjà le Bouddha et Socrate, est la cause de tous les maux.
À l’inverse, la connaissance ouvre la voie au changement, à l’action appropriée, à la liberté.
C’est donc en étant curieux, en écoutant, en apprenant, en travaillant que nous pouvons espérer gagner en qualité de vie, en sérénité, en durabilité.
Et pourtant, trop souvent, nous entendons parler ceux qui ne savent pas, ceux qui font preuve d’ultracrepidarianisme.
Notre société fait la part belle aux bavards, aux extravertis et nous fait ainsi courir le risque de n’écouter que ceux qui parlent fort quand de nombreux autres avis sont disponibles pour le décideur, pour le manager.
Il faut savoir aussi écouter les silences et pas seulement les sirènes qui peuvent nous amener sur les récifs